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Par Mamé Annie le 13 Octobre 2020 à 17:21
Sur la cote à Piriac, tout est gris, pas de pluie, pas de vent, mais il commence à ne pas faire chaud le matin
C'est un endroit ou je n'avais jamais été et que j'ai découvert au bout d'une impasse, oui les maisons sont très près du bord de mer !
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Par Mamé Annie le 8 Mars 2020 à 15:13
Il parait qu'il pleut un jour sur deux dans la région depuis le mois de novembre ! Et ca continue !
Piriac Lérat
Premières giroflées le long du littoral
Un p'tit coin de ciel bleu .... Mais il ne faut pas se fier aux apparences !
Ca souffle trop pour s'asseoir sur un banc !
Ca ne se voit pas trop sur la photo, mais ca souffle beaucoup, beaucoup .....Mon écharpe s'est envolée et j'ai cru que je n'arriverai jamais à la rattraper !
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Par Mamé Annie le 7 Octobre 2019 à 07:45
C'est la fete au village, la fete de l'automne et des pommes, il fait très beau, le soleil brille, un group de musique irlandaise
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Par Mamé Annie le 6 Octobre 2019 à 08:42
Le petit port de Lérat à Piriac que je vous avais montré à marée haute pendant les grandes marées est fort découvert à marée basse en temps habituel
Ici au mois de septembre par une belle matinée
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Par Mamé Annie le 16 Août 2019 à 00:05
Le petit banc de pierre
Au village, quel bonheur !
Se trouve un banc de pierre
Pour tous les voyageurs,
Une pause salutaire.Oh ! Petit banc de pierre !
Pourrais-tu nous conter ?
Toutes ces histoires d’hier
Qui se sont racontées !Les misères, les chagrins,
Qu’on chuchote tout bas,
Les peurs du lendemain,
Mais tout ne se dit pas !Combien se sont assis
Sur le banc de pierre ?
Pour parler de la vie
Celle qu’on vivait naguère !Oh ! Combien de soupirs
Et combien de regrets ?
Et tous ces souvenirs
Accrochés à jamais !Oh ! Petit banc de pierre
Si tu pouvais leur dire
Que seule la prière
Fait cesser les soupirs !Au petit banc de pierre
Je voudrais m’arrêter
Pour leur parler du Père
Et du fils Bien-aimé.Au petit banc de pierre
J’irai un jour m’asseoir
Mettre fin à leurs guerres
Et leur parler d’espoir.Qui d’entre-nous ne s’est pas arrêté, le temps d’une pause pour s’asseoir quelques instants sur un banc de bois ou de pierre ?
Et beaucoup d’échanges ont eu lieu lors de ces haltes reposantes où l’on a échangé, des points de vue, suggérer des changements, rappeler tant de souvenirs !
Parfois c’est un promeneur qui s’arrête, comme pour faire le bilan de sa vie ! Et nous pouvons le remarquer par son regard, cherchant dans ses pensées des réponses à toutes ses interrogations ; alors ce sont parfois des soupirs, qui viennent mettre un terme à ces réflexions.
Dans un petit port breton subsistent les vestiges d’un banc, où les femmes de marins pêcheurs attendaient le retour de leurs maris. Elles s’assoyaient là, scrutant l’horizon, l’âme chargée et les regards inquiets jusqu’à ce qu’elles aperçoivent enfin le bateau si attendu !
C’est ainsi que ce poème a trouvé ses racines, avec ce vif désir dans mon cœur de pouvoir m’asseoir un jour auprès de ces personnes pour parler de l’amour de Dieu et de témoigner qu’avec Dieu nous pouvons toujours recommencer et mettre un terme à une vie habitée par l’insatisfaction.
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