• La saint Valentin bretonne

     

     Mise à part Noel, je n'aime pas trop ces fetes commerciales téléguidées par les médias,  pas besoin d'une  fete imposée pour se prouver que l'on s'aime, mais

    parlons quand meme de la Saint Valentin et puis ca fait marcher le commerce !!!!!

     

     

     

    Saint Valentin bretonne

     

     

     

    Saint Valentin bretonne

     

     

    Saint Valentin bretonne

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    http://www.tempetedelouest.fr/produit/coffret-saint-valentin/

     

     

     

     

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  •  Connaissez vous cette délicieuse petite salade du pays nantais que l'on mange à toutes les sauces ?

    En salade composée avec des betteraves, des endives, des crevettes, des lardons, ou nature en accompagnement d'une viande !

     

    mâche verte produit du MiN Nantes Métropole

    La mâche, un produit Nantais par excellence

     

    Connaissez-vous la mâche ? Cette petite plante herbacée aux innombrables noms tels que la “doucette”, la “clairette” ou encore la “blanchette” mais à la saveur unique.

     

     

     

    Où est-elle cultivée ?

     

    85% de la production nationale de mâche vient de la région nantaise avec une production de 30 000 tonnes par an. 

     

    Plantée entre août et octobre et récoltée dès l’automne jusqu’au printemps, elle est considérée comme une véritable “salade d’hiver” même si elle peut être consommée tout au long de l’année. 

     

    Le sable est un élément indispensable pour une bonne pousse de la mâche. Elle s'y épanouit plus facilement : elle n'abîmera pas ses feuilles et sera parfaitement bien implantée.

     

     

    La mache nantaise

     

    Pourquoi particulièrement à Nantes ? 

     

    Le climat doux et le sol sableux généré par la Loire permettent un substrat parfait pour cultiver la mâche. 

     

    Pour attester de la qualité de cette production locale, la “mâche nantaise” dispose d’une appellation protégée par IGP (Indication Géographique Protégée). Cette reconnaissance est due au savoir-faire des maraîchers nantais qui ont élaboré une culture unique de la mâche.

     

     

     

    Quelle est l’histoire de la mâche ?

     

    La mâche vient du sud de l’Europe, de l’Asie, de l’Afrique du nord et du sud. Elle est consommée à partir de la Renaissance d’abord par les paysans. Elle était à l’origine considérée comme une mauvaise herbe qui poussait dans les champs de céréales. C’est grâce à un chef cuisinier du XVIIIe siècle qui la glorifia, qu’elle fut considérée et consommée à plus grande échelle.

     

    C’est à la première moitié du XIXe siècle que la mâche est cultivée en Loire-Atlantique. Elle était néanmoins destinée à une autoconsommation assez réduite. C’est seulement avec l’adoption de la culture en plein champ, remplaçant la culture en châssis, que la production de mâche s’est grandement développée dans le bassin nantais. 

     

    Une lente évolution qui place désormais la Loire Atlantique comme leader européen incontesté de la production de mâche.

     

    Quels sont les bienfaits de la mâche ? 

     

    La mâche a de forts bénéfices nutritionnels !

     

    C’est une bonne source de béta-carotène (qui se transforme en vitamine A une fois ingérée) et de vitamine C, tous deux des antioxydants. Elle apporte également de la vitamine B9 ainsi que des fibres. 

     

    Elle est très peu calorique, donc à consommer sans modération !

     

     

    La mache nantaise

     

    Avec quoi manger la mâche ? 

     

    La mâche se mange comme de la salade, c’est à dire crue mais surtout accompagnée. Elle se consomme également cuite par exemple en samossas ou en velouté.

     

    Laissez libre court à vos envies pour la déguster avec vos aliments préférés !

     

    On en profite pour vous proposer une recette réalisée par Frédérique Nivet, diététicienne Interfel !

     

    Pour encore plus de recettes rendez-vous sur le site Les fruits et légumes frais d'Interfel

     

     

     

    Où trouver de la mâche ?

    Rendez-vous au MiN Nantes Métropole où vous trouverez cette spécialité à la nantaise ! Sur le carreau des producteurs, comme chez nos grossistes permanents, vous aurez toujours des produits de la plus grande fraîcheur, et la réponse à toutes vos questions.

     

    La mache nantaise

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              Ils font partie de mon environnement et j'aime bien les observer, il y a longtemps que je sais les reconnaitre et si je peux aider les gens qui ne les connaissent pas bien                                   

     

     Photo maisonneuve/SIPA

    Quelle est la différence entre la mouette et le goéland ?

    La principale différence est que la mouette est plus petite que le goéland.

    Pour aller plus loin, précisons qu'il existe plusieurs dizaines d'espèces de mouettes et de goélands et qu'il n'est donc pas évident d'établir des différences générales.

    Néanmoins, les mouettes ont généralement un bec fin et rouge, alors que les goélands ont un bec jaune avec une tache rouge dessous.

    http://www.20minutes.fr/planete/756731-comment-reconnaitre-goeland-mouette

                   

     

    "Grisard" devant un goeland adulte - Wikipedia

                                      

     

     Un très beau film ......

     

    Les indices:

    taille, couleurs et chants Premier critère, la taille: les goélands sont plus gros que les mouettes. «La mouette rieuse fait en moyenne un mètre d’envergure, explique Frédéric Jiguet, ornithologue au Muséum national d’histoire naturelle.

     

    Le goéland argenté fait 1m40 à 1m50 et le goéland leucophée mesure jusqu’à 1m50 d’envergure.» Si vous avez le compas dans l’œil, vous savez déjà à quel oiseau vous avez affaire. Si vous doutez encore, la couleur du plumage devrait vous aider.

     

    «La mouette, lorsqu’elle porte son plumage nuptial en été, est blanche avec un capuchon noir sur la tête, précise Frédéric Jiguet. Son bec et ses pattes sont rouge foncé.» Le goéland, lui, est toujours gris avec un bec jaune orné. «Ses plumes vont du gris clair au gris foncé et ses pattes peuvent être roses ou jaune selon les espèces, mais jamais rouges comme les mouettes», nous explique l’ornithologue.

    Dernier indice si vous hésitez encore: tendez l’oreille et distinguez le ricanement caractéristique de la mouette du cri plus classique du goéland.

                   http://entre-sel-et-mer.eklablog.fr/les-mouettes-sur-le-rivage-a128086128                                                                         

     

    Mouette rieuse (wikipedia)

                                                            

    Quatre mouettes pour un goéland

    En bord de mer, vous avez les mêmes chances de rencontrer les deux espèces, que vous soyez à Honfleur ou à Nice. En revanche, si vous êtes dans les terres, par exemple au bord d’un fleuve ou d’un lac de montagne, vous ne croiserez, sauf rares exceptions, que des mouettes. «Les goélands sont plutôt marins, on les voit en colonies sur les falaises de bord de mer et ils vont plus loin au large que les mouettes», détaille Frédéric Jiguet.

    Si mouettes et goélands peuvent cohabiter sur une même plage, vous avez statistiquement plus de chances de croiser les rieuses, qui sont 885.000 en France, selon les derniers comptages hivernaux, que des goélands argentés, qui ne sont que 180.000, ou un des 41.000 goélands leucophées qui nichent en France.

     

    Les conseils de l’expert si vous croisez une mouette ou un goéland Les goélands et les mouettes sont des animaux protégés.

    En conséquence, il ne faut pas ramasser les poussins qui seraient tombés du nid. «Les petits goélands quittent le nid très tôt, avant de savoir voler, explique Frédéric Jiguet. Ils se cachent souvent dans la végétation, mais il ne faut surtout pas croire qu’ils sont perdus car les parents savent très bien où ils sont.»

    En revanche, rien à craindre pour les enfants qui s’amuseraient à courser les oiseaux sur la plage: «On peut s’amuser à leur donner un peu de pain, ces oiseaux ne sont pas agressifs sauf si on est trop près de leur nid. Dans tous les cas, ils n’attaquent pas les humains: ils vont pousser des cris très forts et faire un beau bazar mais ce sera tout», rassure l’ornithologue.

                                                   

                                                        

     

     

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    proverbes bretons avec de l'humour

     Vous en connaissez peut etre certains, mais rions un peu par ces temps un peu tristes


     

     

     

     

    • PROVERBES ET DICTONS BRETONS




      Breton de Terre :

      - Le monde appartient à ceux dont les ouvriers se lèvent tôt.
      - Caleçon qui gratte, morpions qui squattent.
      - Qui mange un oignon, rote comme un démon.
      - Qui pisse loin ménage ses pompes.
      - Caca de fête, caca qui fouette.
      - Pet sournois, pet de putois.
      - Trou qui gratte au soir, doigt qui pue au matin



      Breton de mer :

      - Horizon pas net, reste à la buvette.
      - Quand les mouettes volent bec au vent, c'est signe de mauvais temps.
      - Qui pisse contre le vent se rince les dents.
      - Quand les mouettes ont pied, il est temps de virer.




      Breton et Boisson :

      - Un verre ça va, 3 verres ... ça va, ça va, ça va.
      - La bière est la preuve que Dieu existe et qu'ils nous aime.
      - Ceux qui boivent pour oublier sont priés de payer d'avance, merci.
      - Le pastis se trouble quand on le mouille. Les filles c'est l'inverse.
      - Qui boit sans soif vomira sans efforts.
      - On boira du lait quand les vaches boufferont du raisin.
      - Conduire ou choisir, il faut boire.




      - Tout a une fin sauf le saucisson qui en a 2.
      - Si l'argent n'achète pas l'amour, ça facilite nettement les négociations.




      Breton et Saisons :

      - Froid de novembre, range ton membre.
      - Pluie de novembre, Noël fin décembre.
      - Quéquette en décembre, layette en septembre.
      - Gel en février fait l'eau se solidifier.
      - Pingouins dans les champs, hiver méchant.




      Breton et Logique :

      - Verglas en avril, Tricostéril.
      - Quand le merle chante en mai, avril est fini.




      Breton de Base :

      - En Mathilda May, fais ce qu'il te plait.
      - Fellation du matin, repos du vagin.
      - Sodomie du soir, repos des mâchoires.
      - 69 du midi, nettoyage des outils.
      Gourdin du matin, pipi sans les mains.
      - Qui nique trop, a les couilles en drapeau.

       


      KENAVO !


       

       

       

       

     

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    Guérande en fetes de Noel

     

    TRADITIONS DE NOEL D'ANTAN EN BRETAGNE

     

                                                                                                            

     

    http://chartierjulesmichel.blogspot.fr/2013/12/noel-en-bretagne-dans-la-traditions.html

    Elle était suivie avec assiduité en Bretagne et continue d'ailleurs de l'être car la tradition demeure bien souvent quelle que soit sa croyance religieuse.

    Aller à la messe pour nos ancêtres cela voulait dire faire plusieurs kilomètres à pied, de nuit, par tous les temps sur des chemins boueux... tout en chantant des cantiques de Noël....

    Avant de partir la famille partageait une collation de crêpes et allumait la bûche. En arrivant à l'Eglise illuminée par les cierges, la famille dépose son offrande au pied de la crèche, un gâteau, du beurre, des œufs, un panier d'osier, parfois un peu d'argent.

    Ceux qui restaient pour garder la maison et les animaux étaient chargés de disposer des couronnes de paille dans les champs autour de leurs pommiers pour s'assurer une belle récolte. On ne touchait jamais au gui réputé magique et sacré.

    Le 23 décembre, jour du solstice d'hiver était aussi chez les Celtes le" jour de la pierre brute", le jour où on cueillait rituellement le gui avec une faucille d'or.

                  

    Le Père Noël

    A l'époque où la pratique religieuse était très présente en Bretagne celui dont on espérait plein de bonnes choses était appelé Ar Mabig Jezuz, L'enfant Jésus Aujourd'hui le père Noël en Bretagne s'appelle Tad-kozh an nedeleg soit littéralement "le grand-père Noël"

     

     

    Les cadeaux de Noël.....

    Les plus anciens d'entre nous se souviennent que leurs cadeaux de Noël se limitaient souvent à un sucre d'orge ou un "petit jésus" en sucre ou encore une belle pomme rouge bien brillante, Les bonnes années les parents y ajoutaient une orange.

    Les enfants trouvaient leurs cadeaux dans leurs sabots le matin du 25 décembre, à condition qu'ils soient bien propres. Inutile de vous dire que jamais sabots n'ont été aussi bien astiqués que le 24 décembre au soir !

     

     

    Le réveillon.

    Au retour de la messe la famille réveillonne avec un repas légèrement amélioré.

    Soupe au pain, kig ha farz. On n'oubliait pas les animaux, qui avaient droit à une ration supplémentaire.

     

     

    La bûche de Noël.

    La bûche de Noël est un énorme bois de chêne, de hêtre, ou d’orme, un bois dur à combustion lente. La bûche était aspergée d'eau bénite et de sel avant d'être brûlée. La combustion pouvait durer plusieurs jours mais devait surtout chauffer la veillée de Noël après la messe. Les braises étaient recueillies car elles avaient des vertus médicinales. mais on prétendait aussi qu'elles protégeaient de la foudre, des serpents et qu'elles purifiaient l'eau de pluie. Les invités repartaient parfois chez eux avec un sabot plein de braises. ce qui leur permettait d'allumer le feu à leur retour chez eux....

     

     

    Une nuit magique.

    Les croyances anciennes sont particulièrement nombreuses. Au court de cette nuit de Noël aucun esprit satanique ne peut agir ni aucune sorcière surgir, les korrigans comme l'ankou se sont éloignés. Pendant la messe de minuit les animaux parlent "la langue de l'homme" dans leurs étables.

     

     

    http://www.noelistique.com/noel-2012/articles-2/noel-bretagne.html

    En Bretagne, les sabots de Noël n'étaient bien souvent garnis que de pommes rouges, appelées "pommes du paradis" ou d'une orange, la "pomme d'orange".

    Bien avant le IVème siècle, date à laquelle l'Eglise institua la fête de Noël, le 25 décembre était fêté par les Celtes qui célébraient Mithra, le dieu solaire.

    La tradition du sapin de Noël a toujours existé en Bretagne, puisque les Celtes le dédiaient au jour de renaissance du soleil et l'appelaient “l'arbre de l'enfantement” !

    Les enfants, les petits « Noëlloux » scandaient de porte en porte le même refrain : « Chantons Noël pour une pomme, pour une poire, pour un petit coup de cidre à boire » et leur chant était récompensé par quelques sous ou par des friandises.

     

    Les bretons, profondément catholiques, n'oublient pas pour autant leurs racines Celtes. Ainsi, avant de partir pour la messe de minuit, ils allumaient la bûche de Noël, une bûche enrubannée et aspergée d'eau bénite et de sel.

      Parmi les légendes, une raconte que Noël est une nuit magique et qu'au moment où sonnent les douze coups de minuit des phénomènes étranges se produisent :

    on entend le son des cloches des villes englouties et on peut voir des menhirs sortirent de terre pour, aller boire l'eau des sources.

    Passés les 12 coups de minuit, ils retournent sagement chez eux.

     

    Parmi certaines coutumes et croyances, il existe une qui raconte que pendant la messe de minuit, au moment de la consécration, une chandelle s'allume partout où un trésor est caché. A la même heure, l'eau des puits et des fontaines se change en vin.

    Autrefois, la veille de Noël, on mettait dans l'âtre une bûche neuve qui devait brûler sans interruption jusqu'au nouvel an, ou jusqu'à la fête des rois. On raconte que le tison de la bûche de Noël préserve de la foudre. On en mettait donc sous les lits pour protéger la maison des colères du ciel.

    Dans la nuit de Noël, on raconte que des mégalithes changent de place. Dans certains endroits, on a vu des menhirs qui vont boire au ruisseau quand les cloches sonnent la messe de minuit. D'autres menhirs sont soulevés par des oiseaux et laissent apparaître un trésor. C'est une nuit de privilèges où aucun esprit malfaisant ne peut surgir, nul maléfice, nulle sorcière ne peut agir .

    Certaines personnes, restées à la maison pendant la messe, disposaient des couronnes de paille dans les champs autour des pommiers pour assurer une belle récolte.

    On ne touchait jamais au gui, réputé magique et sacré !

    En Haute-Bretagne, il y a un marais près d'une fontaine où, d'après la tradition, sont enfouies des cloches qui sonnent toutes seules pour appeler à la messe de minuit le 25 décembre.

    Autrefois, on chantait beaucoup à Noël. Chaque année, dans certains villages de Haute-Bretagne, les rois mages revivaient dans la personne de trois jeunes gens de la commune, qui revêtaient leurs habits de fêtes et les couvraient de rubans pour annoncer la venue du messie, le soir, dans les chaumières.

     

     

     

    UN PEU DE VOCABULAIRE

    Le Père Noël peut s’appeler de différentes manières, traditionelement on disait "Mabig Jezuz" (le petit Jésus).

    Les appellations les plus courantes sont "Tad Kozh ar Pellgent" (Grand père de l’aurore) et "Tad Kozh an Nedeleg" (Grand père de Noël).

    Certains utilisent l’appellation "Tad Nedeleg" qui est une traduction mot à mot de "Père Noël" mais qui n’a jamais été employée par les Bretonnants.

    » Le Réveillon de Noël s’appelle "Ar Fiskoan", mot composé de "Fest" (fête) et de "Koan" repas du soir). »

    La Messe de Minuit se dit "Oferenn ar Pellgent" »

    La buche de Noël, celle qui se met dans l’âtre (an oaled), peut s’appeler de différente manières :

    - An etev Nedeleg - Kef an Nedeleg - Tos an Nedeleg - Skod an Nedeleg

    Source Kevrenn La Rochelle

     

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